Thursday, October 30, 2008
Wednesday, October 29, 2008
Surfing (or trying to) in Noosa
But what we didn't know before making that decision, is that surfing is not just about getting wet; it's also about getting hurt! We'd surfed a bit in Scotland, and the water temperature being close to 10 below 0, we were wearing super-duper wetsuit, and were provided with ice-axes, because it's easier to surf if the ice is broken. But here, the water being 20 degres and all, no need for the thick wetsuit. And this is where it hurts, really hurts. Each time you throw yourself on the board, you make the bruises on you ribs a little bigger, darker and sorer.
Phil was (a little bit) better, I don't know if it's because he's bigger, or feels the pain less than I do, or if it's because he's not afraid of having his head chopped off by fellow surfers... but he did better than me. But only slightly.
We have embraced some parts of the Aussie culture full-heartedly (like BBQs and beach) but surfing just won't be one of them. Oh well, never mind, at least I had a good laugh watching my husband falling off the board a good 1000 times (still not as funny as my husband running after a wild dog...) and it made cool photographs.
And when Phil was bruising himself in the water, I was enjoying reading my book, lying on the hot sand (Did it not just snow in London?). Of course, upon arrival on the beach, I covered myself of a thick layer of sunscreen, but it looks like the brainwashing hasn't completely worked on me as I forgot to put some again after splashing in the waves. The ozone layer being at its thinnest above Australia, pasty-English skins like mine don't do very well over here. This is why I quickly became the same colour as tomatoes.
And I'm still paying the price for it. In two ways. First, because the back of my thighs are so burnt, it hurts when I sit down on the toilet, and second, because my face is so red, parents hide the eyes of their children when seeing me in the street, and frown upon me, and tut-tut at me as for the Aussies, being sunburnt is a taboo, it means I made the grave error of not putting sunscreen on. It's much worse than eating with your elbows on the table, crossing the road when the little man is red, or farting in public. You just don't do it.
But heh, last weekend wasn't just about bruising and burning our bodies! We also saw something very rare: a koala on the move! Now, that's a scoop! And by some miracle, I had the camera handy at the time.
So please, ladies and gentlemen, consider yourselves extremely lucky, as I give you, in exclusivity, the premiere of 'A Koala on the Move'. (I didn't mention this in the post about koalas, but it is believed that koalas are stoned; all the time. Completely spaced-out. A bit like our friends, the French backpackers. But koalas find their supplies of hallucinogenic substance in eucalyptus leaves. And because this is all they eat, they are constantly high. This explains why they sleep most of the time, and move only very rarely.)
So, sit back, put your feet up, and enjoy this truly incredible sight.
Friday, October 24, 2008
Les Francais en Australie...
In the middle of Australia, Phil was happily sipping on a particularly delicious single malt while critically analysing the entire works of Virgil. Then he made a peculiar encounter and was not at all impressed. Not that the all French are pot smoking, shoe-less, smelly, dreadlocked, pseudo-hippies. Far from it. It just happens that all the ones that are seem to have found themselves around us.
Wednesday, October 22, 2008
Bouees, baleines et Byron Bay
Tout a commencé samedi, quand nous sommes allés voir les baleines a bosse, ou comme Phil m'a répondu quand je lui ai demande la traduction française, les baleines de Notre Dame :)
On était sur le bateau pour une bonne partie de la journée, et avant d’amarrer, ils nous avaient promis qu'on verrait des baleines, mais que si, par malheur, on n'en voyait pas, ils nous permettraient de refaire la mini-croisière une autre fois...
...ouais, sauf qu'en ce moment, les baleines rentrent chez elles, dans le grand Sud. La baleine a bosse ne vient que pour quelques mois sur les cotes australiennes pour donner naissance a son bébé et lui donner un peu de temps pour grandir avant de l'amener dans sa nouvelle maison, les eaux glaciales du Pole Sud (sympa, la maman!) Et bref, il est maintenant temps pour ces bébés d'aller se geler les nageoires et de descendre au sud, le long de l'autoroute du soleil, et on aurait eu peu de chance de les voir si elles n'étaient pas venues nous faire un petit coucou samedi.
Ça avait mal commencé, jusqu'au déjeuner, rien. Le capitaine commençait à s'inquiéter. On décide donc d'arrêter de fixer nos yeux sur le bleu de la mer pour quelques temps et d'aller manger. Et bien sur, au moment où on s'assoit pour déguster nos cuisses de poulet, on entend tout le monde sur le pont qui commence à 'Wahouher!' dans tous les sens. Tant pis pour le poulet, la volaille ne fait pas le poids face à ces mammifères!
On peut meme voir son oeil sur cette photo.
Et alors là, comme vous pouvez imaginer, c'était in-cro-yable! Im-pre-ssio-nant! E-pous-.... blablabla, bref, vous voyez ce que je veux dire. Une maman et son bébé de 3 ou 4 semaines ont passé plus d'une heure autour de notre bateau. Le bébé était tout fou, il n’arrêtait pas de nous montrer ses prouesses et de sauter hors de l’eau ou de nous éclabousser avec sa queue. Même le capitaine était impressionné par son enthousiasme.
Apres ça, on est allé directement à Byron Bay, une ville où les habitants ont la réputation de hippy, version années 70! Résultat des courses, on n’a même pas vu un de ces vans Volkswagen avec des fleurs dessus. Dégoutés! Pas grave, c'était sympa quand même et on a dormit 2 nuits sous la tente en écoutant les vagues se 'Woosher' sur la plage. Quel bonheur de camper une fois de plus, de se reconnecter avec la nature* après toutes ces semaines de travail et de vie citadine, et cette fois-ci, c'était encore mieux parce qu'on dormait dans une tente 4 places, au lieu d'une voiture sans place.
(A ne pas confondre avec 'extra-terrestre', n'est-ce pas?)
Et le lendemain, lundi, on a passé la journée à s'éclater comme des petits fous au Wet'n'Wild water park! Un parc d'attraction aquatique sur la Gold Coast, avec des toboggans de oufs. Malheureusement, je n'ai pas pu prendre de photo de la tête de Philou quand il atterrissait dans l'eau a 120km/h; c'était un peu trop mouille pour notre appareil photo.
Par contre, j'ai pu prendre une photo de Phil en train de deguster 'le meilleur 'fish'n'chips'
du monde', comme celui de Sydney, y a quelques mois.
Et voila, c'est mardi, la semaine a repris son court habituel, et on compte les jours avant notre grand départ. Mais on est bien déterminé a en profiter au max avant de reprendre l'avion. Qui sait ce que nous réserve le weekend prochain!
PS: Il y a du nouveau dans nos projets. Parce qu'on s'y est pris trop tard pour changer nos billets, on ne pourra pas aller en Nouvelle Zélande, ni a Samoa. Bien sur, on était tout simplement navré quand on a appris la nouvelle qu'on devait rentrer en Europe au milieu du mois de Novembre, en plein été australien. On a donc décidé de repartir pour un petit mois avant de reprendre le court de la vie normale. On ira en Egypte, voir les pyramides et plonger dans la Mer Rouge, puis 4 jours a New York, avant de rentrer pour de bon (c'est promis, on s'arrête la) a la mi-décembre.
* on dirait que l'influence 'Hyppie' a deteint sur moi; y a des gens qui apelle les gens comme moi des 'tree huggers' (des faiseurs de calins aux arbres, si ca veut dire quelque chose).
Friday, October 17, 2008
Interesting facts
One of the wonderful things about travelling is that you learn lots of interesting, useful things. I've decided to be generous and to share my new knowledge with you. Today, we're going to talk about koalas.
It's a fact, koalas are not the cutest thing in the world. Baby-koalas are.
A baby-koala is not called a baby koala, it's called a joey (like all the other baby marsupials). Fact.
Koalas are offended when called koala-bears. This was a lesson taught to Phil the hard way. He was working with a 6 year-old kid, when suddenly he saw a koala in a tree, through the window. All excited, he pointed at it to share this wonderdul sight with the little girl and said: 'Oh look, a koala-bear!'
Unimpressed, the girl told him that koalas aren't bears, they're marsupials, and it's not PC to call them so. She then went on singing the ever so famous nursery rhyme: I'm a koala, I'm a marsupial, please don't call me a bear... And Phil will never make the mistake again. Ever.
Spotting koalas in their tree is a skill I am yet to master. Terrii, being the master koala-spotter told us to look for white, fluffy bums. They're still hard to spot.
Koalas are cute to look at, but not cute to listen to as we had the pleasure to realise the other night. The koala sounds like a mix between a pubescent cow in the process of breaking its voice and a pig squeeling during execution. Fact.
This weekend we are going to go wale watching, then a visit to the Gold Coast, followed by the world's number one water-park. We'll let you know all about it...
Wednesday, October 15, 2008
Metro, boulot, dodo
Mais l’autre jour, Papa m’a dit au téléphone qu’il allait vérifier le blog tous les jours pour voir s’il y avait des nouvelles. Et ma sœur aussi. C’est juste que maintenant, le manque de requins, de déserts et de feux de camp, on se disait qu’il n’y avait plus grand chose à raconter.
Bon, voila, la mal est réparé, voici donc des nouvelles de chez nous.
Phil travaille toujours dur mais se plait pas mal à son boulot. Les assistants sociaux ici sont comme partout, des pièces très rares, et le boss de Philip va être bien triste de le voir partir en Novembre.
Et moi, je continue a enseigner dans la même école depuis 1 mois, et ca se passe très bien aussi. A part peut etre mon premier jour la bas. Tout d'abord, j'ai bien cru que j'allais mourir de chaleur. Il faisait 36 degres. Quand j'ai dit a une de mes eleves que je trouvais qu'il faisait vraiment chaud, elle me repond, tout sourire de ne pas m'inquieter parce qu'ils renvoient les eleves chez eux si les temperatures atteignent 40 degres. Me voila bien rassuree, donc, puisque s'il fait 39,5 degres, je peux continuer a enseigner ces charmantes tetes blondes!
Et puis, ce meme jour, une chose terrible est arrivee. Vraiment TERRIBLE! Un cafard, dans ma salle de classe, vivant. Je ne sais par quel miracle j'ai reussi a ne pas hurler, mais les eleves ne l'ont pas vu. Je suis allee voir la directrice fissa pour lui faire part de mon desarroi, et la, elle me sort: Ah, il faut les ecraser si t'en vois un: Euh, I don't think so, darling! Remarquez, c'est pas pire qu'une autre ecole ou je suis allee travailler, et ou on m'a dit de bien faire attention quand je vais aux toilettes, et de regarder dans la cuvette avant d'y faire quoique ce soit, parce qu'une grenouille vit dans la cuvette des WCs des dames. Et comme par hasard, j'ai pas eu besoin de vider ma vessie ce jour la.
L’école se situe a environ 1 heure au nord de Brisbane, mais 15 minutes de notre maison. C’est une école gigantesque, avec plusieurs milliers d’élèves. A part ce dernier détail, c’est une école typique du Queensland. Au lieu d'apprendre l'espagnol ou l'allemand en langues etrangeres comme chez nous, ils apprennent le japonais et l'indonesien. Ils ont 2 fois plus de sport que mes eleves ecossais dans leur emploi du temps (ce qui explique peut erte pourquoi les australiens ont tendance a raffler tant de medailles aux Jeux Olympiques). Les temperatures restent temperees ou chaudes tout au long de l’annee : les salles de classes sont des baraquements extérieurs; il y a peu de couloirs dans les écoles de Queensland.
Les ecoles sont dotees de plusieurs reservoirs pour collecter l’eau de pluie. Mon ecole se vante bien de pouvoir contenir 1 million de litres d’eau dans ses 7 reservoirs. En voici 3 des 7.
Je ne peux evidemment pas prendre de photos des eleves et les poster sur le net, mais si je pouvais, vous verriez des centaines d'enfants en uniforme, et pas un enfant sans son chapeau, parce que: 'No hat, no play!' Si un enfant ne porte pas de chapeau, il n'a pas le droit de jouer au soleil. Ils sont extremement stricts sur ce sujet, et c'est comprehensible. Il y a tellement d'enseignants avec du cancer de la peau. Du coup, les australiens, contrairement a ce qu'on pourrait croire, ne sont pas bronzes du tout. D'ailleurs, l'autre jour, je voulais acheter de la creme solaire, et j'ai fait plusieurs magasins, et aucun ne vendaient autre chose que de l'indice 30. Rien d'autre. Ecran total ou rien du tout. C'est pas avec ca que je vais parfaire mon bronzage avant de rentrer dans le grand nord!
Et a part ca, nous habitons dans une nouvelle maison. Nous avons dit au revoir a Peter et Terrii!
Monday, October 6, 2008
A bit behind
Firstly, I am writing to you all from my desk at work. Naturally, this is something I should not be doing. So you will understand why I have to be particularly brief and rather sneaky. I know some of you are awaiting some sort of update, but I can only apologise for our lack of news. We do not have access to the internet at the moment and so we too are in the dark….oops, my boss just walked past me. Right, my nerves are ready to snap with anxiety at the prospect of being fired at any minute. I must now go and make myself some tea and ponder the day ahead.
Update to come next week … regards, Ju and Phil